Jane peint «ce qu’elle voit…».
Des portraits mystérieux, déconcertants parfois. Des regards pénétrants qui nous empêchent de détourner le nôtre comme pour nous forcer à les voir. Ces personnages sont présentés sans artifice, dans leur implacable sincérité, parfois leur détresse, mais toujours avec une tendresse qui ne se laisse pas convoiter par une quelconque pitié ou charité. Il en est de même dans les «Scènes de vie», petits paysages de la vie quotidienne ou miroirs grossissants du monde hostile dans lequel nous vivons ; elles invitent à nous attarder sur ce que nous sommes : Humains.